BW Industrie adopte Avantin 451
Changer de lubrifiant n’est jamais une décision anodine mais permet d’augmenter les gains de productivité. Stratégie testée - et approuvée - par la PME mosellane BW Industrie.
BW Industrie, société créée en 2009, à Sarrebourg (Moselle) et gérée, à parts égales par Philippe Boog et Laurent Wagner, est spécialisée dans l’usinage en grande série (jusqu’à
500 000 pièces par an) et ambitionne « de devenir le numéro un dans ce domaine », de l’aveu du co-dirigeant Philippe Boog. Son parc se compose d’une trentaine de machines et à l’image du dernier investissement, un CU bibroches de marque SW, la société veut améliorer ses gains de productivité et remporter de nouvelles parts de marchés à l’étranger.
Le lubrifiant Avantin 451, en cours de déploiement sur l’ensemble du site et développé par l’entreprise Bechem, pourrait y contribuer. Les opérateurs-régleurs ont déjà constaté une nette amélioration des avances, de l’ordre de 5 à 8 % par rapport au produit en place. Le processus d’usinage étant stabilisé « avec moins de changements d’outils et une usure plus régulière, les opérateurs sont davantage sereins », témoigne Philippe Boog.
Bien-être des salariés
BW Industrie a décidé de changer son lubrifiant réfrigérant car le précédent provoquait des réactions cutanées récurrentes. Le problème a été résolu en seulement quelques semaines et tient à la formulation spécifique de Avantin 451.
Les mauvaises odeurs ont également disparu ! La formulation de Avantin 451 permet d’accroitre la stabilité des bains, tout en respectant la législation en vigueur et ne possède pas de pictogrammes de sécurité sur les fûts. La collaboration avec le fabricant Bechem a d’abord été mise en place pour améliorer les conditions de travail des salariés.
Baisse des coûts
Les secteurs d’activité de BW Industrie sont compétitifs. Pièces automobiles, pompes hydrauliques, composants électroniques ou mécaniques… ces grandes séries doivent être usinées à une certaine cadence et ne tolèrent aucun temps mort ! Depuis la mise en place de Avantin 451, « les salariés ne sont plus obligés de nettoyer et de poncer leur table de travail lorsqu’ils arrivent le lundi matin », relate le dirigeant de l’entreprise. Ce lubrifiant évite la rouille des pièces et des machines qui les rendrait inutilisables et ralentirait, de surcroît, la production.
Les principales réductions de coûts se constatent surtout au niveau des réappoints. Il s’agit d’une étape stratégique ! Bechem réalise mensuellement le suivi des bains et, en mesurant les pH et les taux de concentration, ajuste le dosage. D’ailleurs, fait important, l’entreprise sarrebourgeoise a divisé par deux sa fréquence de vidange.
Avec des outils tels que Avantin 451, la société mosellane espère renouer avec son chiffre d’affaires de 2019 et oublier 2020.
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