À Lyon, 15 000 m² disponibles pour accueillir les industriels de demain

Après 4 ans d’activité, et déjà +23 entreprises accueillies et +750 emplois créés, USIN Lyon Parilly, le site totem du renouveau de l’industrie urbaine en métropole lyonnaise, continue de prouver l’efficacité de son modèle unique au service de la réindustrialisation responsable.

En s’appuyant sur un partenariat public privé innovant associant le Groupe SERL, la Banque des Territoires et la Caisse d’Épargne Rhône-Alpes, USIN Lyon Parilly propose des solutions immobilières locatives clé en main pour tous les parcours industriels, du projet en développement au déploiement d’une ligne de production complète, de la TPE au grand groupe, d’une implantation long terme à un atterrissage tremplin.

Suite au départ de Symbio, accueilli pendant 3 années, et qui poursuit aujourd’hui son développement sur sa propre gigafactory au Sud de Lyon à Saint-Fons, USIN Lyon Parilly dispose aujourd’hui d’environ 15 000 m² d’espaces à nouveau disponibles, divisibles à partir de 3 500 m². L’opportunité pour le site de renouveler ses locataires, et ainsi poursuivre sa mission d’accompagner l’émergence de nouveaux acteurs de l’industrie à impact.

« USIN Lyon Parilly complète l’offre de Parc Industriel de la Métropole, en offrant aux entreprises de toutes tailles un lieu de production et d’innovation, ouvert sur la ville, et disposant de solutions d’implantations variées, flexibles et évolutives. En 2025, nous sommes heureux de pouvoir proposer à de nouveaux industriels de profiter de cette opportunité d’implantation unique, très appréciée également par les salariés pour son accessibilité et son environnement urbain. », indique David Bellanger, directeur de l’immobilier et de l’investissement chez Groupe SERL.

Le site accueille aujourd’hui 18 locataires, à la fois des startups spécialisées, comme CAREMAG (recyclage des aimants aux Terres Rares), Mecaware (recyclage de batteries électriques), Recyc’Elit (recyclage des textiles à base polyester), mais aussi de grands groupes leaders dans leur domaine technologique, comme Vesuvius (contrôle du flux du métal liquide), BEGO (spécialiste de la prothèse dentaire et de l’implantologie dentaire), ou encore des acteurs de l’écosystème de l’industrie à impact, comme La Ruche Industrielle (propose des espaces et des méthodologies pour expérimenter de nouvelles façons de faire ensemble).

De nouveaux projets de développement, avec deux bâtiments en construction

Au-delà des espaces aujourd’hui disponibles dans les 40 000 m² existants, USIN Lyon Parilly anticipe également les prochaines évolutions du site, avec deux bâtiments neufs à venir. Le Lot 1, d’une superficie de 2 610 m² et comprenant 5 lots, sera destiné aux petites entreprises industrielles à la recherche d’une autonomie croissante. Il sera flexible et divisible en petites surfaces, allant de 500 à 800 m², pour répondre à des besoins mixtes bureaux / ateliers, allant de la recherche industrielle à la petite production. Le lancement des travaux est prévu pour l’automne, pour une livraison du bâtiment à horizon 2026.

Le Lot 7a, d’une surface de plus de 1 500 m², accueillera quant à lui le Pôle LYVE, pôle d’entrepreneurs qui propose de l’hébergement et de l’accompagnement pour les entreprises. Les travaux, qui ont débuté en fin 2024, doivent se poursuivre sur 2025, permettant à terme une mise en service en 2026.

« USIN Lyon Parilly propose aux entreprises un environnement propice à leur développement « de l’idée à l’usine », grâce à la flexibilité des espaces et à la proximité des infrastructures. Elles peuvent commencer par des unités de production préfiguratrice à taille humaine, adaptées à leurs premières étapes de développement. À mesure qu’elles se développent, chaque entreprise est en capacité, sur le site, d’agrandir ses locaux pour répondre à la croissance de leur production. Ce modèle a déjà permis à plusieurs entreprises du secteur de l’énergie et de l’économie circulaire de passer, en quelques années, d’une usine pilote à des productions industrielles à plus grande échelle, tout en restant au sein du même écosystème flexible et évolutif. », ajoute David Bellanger.